Terrasse à Rome - Pascal Quignard
Je viens de lire ce livre... Et c'est déjà du passé. J'ai pas du tout accroché. Bon, ça se lit vite, assez facilement. Le style d'écriture "à l'ancienne" c'est pas trop mon truc. L'histoire existe, mais bon, vraiment, bof. Pas non plus la répulsion, mais ce bouquin m'inspire très peu de chose, alors je me contenterai de copier le commentaire d'Amazon, et vous laissez juger... :-)
"Au XVIIe siècle, un eau-fortier se retrouve avec le visage détruit à l'eau-forte. Cette "face de cuir bouilli" grave à jamais en lui l'amour qu'il portait à Nanni de Bruges et le geste vengeur de son fiancé jaloux. Privé d'image et d'expression, Meaume le graveur se livre à son intériorité. Au fil d'une succession de scènes sans liaison, comme autant de cris et d'halètements qui accompagnent la traversée de l'enfer et l'accès à la lumière, Meaume dit ses extases, son art, ses désirs, mais aussi la créativité, l'amour, l'apparence et la vérité. En homme "que les images attaquent", il énonce ses visions, sa fascination pour l'opposition et la complémentarité du clair-obscur."
"Au XVIIe siècle, un eau-fortier se retrouve avec le visage détruit à l'eau-forte. Cette "face de cuir bouilli" grave à jamais en lui l'amour qu'il portait à Nanni de Bruges et le geste vengeur de son fiancé jaloux. Privé d'image et d'expression, Meaume le graveur se livre à son intériorité. Au fil d'une succession de scènes sans liaison, comme autant de cris et d'halètements qui accompagnent la traversée de l'enfer et l'accès à la lumière, Meaume dit ses extases, son art, ses désirs, mais aussi la créativité, l'amour, l'apparence et la vérité. En homme "que les images attaquent", il énonce ses visions, sa fascination pour l'opposition et la complémentarité du clair-obscur."